lol - Newsletter n°8 đ
Petit point 1/2
Coucou
Rien nâa Ă©tĂ© envoyĂ© depuis Mai ou Juin mais chui vivant đ
Pour la faire courte : jâai changĂ©, temporairement ou Ă jamais, de milieu.
Mini retrospective avant de poster des liens : 2020 devait ĂȘtre lâannĂ©e oĂč on / jâessayais de faire quelque chose dâhellofdp si toutefois cela devait arriver. AprĂšs quelques mois Ă y songer sĂ©rieusement, la seconde devait ĂȘtre passĂ©e en rencontrant quelques gens du mĂ©tier Ă Londres en Mars. Mais le covid ne mâaura mĂȘme pas laissĂ© apercevoir lâEurostar.
LâidĂ©e, câĂ©tait une agence / studio / quoiquestce axĂ© recherche quali & cultural insights, Ă Paris. Avec comme plus ou moins grosses inspirations CrowdDNA, Onroad, Non Fiction, Further&Further, Current Forward, ainsi que mes idoles Farrah Bostic et Jay Owens. Cette idĂ©e nâest pas morte, jây songe encore rĂ©guliĂšrement suite Ă des conversations par ci par lĂ , mais elle est en gros stand-by. On verra en 2022.
La pandĂ©mie aurait pu ne pas stopper cet Ă©lan, peut-ĂȘtre mĂȘme quâelle aurait Ă©tĂ© un point de dĂ©part intĂ©ressant, mais dâautres opportunitĂ©s se sont prĂ©sentĂ©es, mais le destin, tout ça.
Pour en revenir Ă cette newsletter : mes lectures nâont pas tant changĂ©es, mais les raisons pour lesquelles jâai arrĂȘtĂ© dâĂ©crire sont les suivantes :
- Pourquoi est-ce je lis encore tous ces trucs si je juge que mon job ne mây oblige plus ?
- Est-ce vraiment intĂ©ressant dâĂ©crire ou de me lire dans une pĂ©riode aussi chaotique ? Jâai du mal Ă avoir des idĂ©es depuis 6 mois et je ne mâimagine pas que lâambiance actuelle donne envie de lire mes salades.
Du coup, je lis, je note, je mets de cÎté, mais sans trop savoir pourquoi à fréquence irréguliÚre.
Bref, cette newsletter est un peu un quitte ou double : soit elle relancera la machine, soit elle en sera le dernier jeton. Dans tous les cas jâavais besoin de finir de lire tout ce qui traĂźne dans le browser de 2020, donc jâai pensĂ© Ă vous en faire âprofiterâ, ou au moins les partager. Get ready, ça va plus ressembler Ă du vulgaire drop de liens quâautre chose. DĂ©sooo.
Ah ui. Et parce quâaprĂšs 8 ans Ă schizophrĂ©ner entre le âonâ (on commencĂ© Ă 4) et le âjeâ (quasi solo depuis 2, 3 ans), je vais essayer de parler principalement en âjeâ. Dâailleurs, si suite il y a avec cette newsletter, ça sera surement via mon compte / identitĂ© online perso, Ă savoir : ce vulgaire twitto. Lâheure de lâanonymat nâa plus trop dâintĂ©rĂȘt et devient plus relou quâautre chose Ă©tant donnĂ© la direction prise.
Allez, vidons le navigateur.
Edit : il y a une limite (de caractĂšres ou de poids, je sais pas) sur Substack et jâai atteint le max. Il y aura donc une partie 2 Ă venir. Avant AoĂ»t si possible.
Avant-propos
Cette annĂ©e et cette newsletter mâont permis de comprendre un peu mieux ce que je lisais. DâoĂč ça venait, ce qui mâintĂ©ressait vraiment, etc. On parle ici de tout se qui se rapporte Ă la culture sociĂ©tale et sociale au sens large.
Au fil dâune discussion est survenue une reprĂ©sentation assez simplifiĂ©e de ce quâon a appelĂ© âseriousness rankingâ. A savoir une organisation dâoĂč je trouve mes lectures en fonction du niveau de sĂ©riositĂ© / qualitĂ© de lâĂ©crit, comme son nom lâindique quoi. Câest tout Ă fait subjectif et se schĂ©matise comme ça :
Yâa grossiĂšrement 6 catĂ©gories qui peuvent sâexpliquer ainsi :
1. Les lectures acadĂ©miques : câest lĂ quâest la vĂ©ritĂ© et que se trouve le passĂ©, le prĂ©sent et le futur, mais leurs PDFs de 180 pages police taille 7 câest mort, et parfois assez compliquĂ©. Un papier de temps en temps en espĂ©rant pas sâendormir dessus quoi.
2. Les Ă©crivains, essayistes et penseurs en sciences humaines : souvent bien plus digestes que leurs collĂšgues du haut. Les idĂ©es dĂ©veloppĂ©es forment des socles dont jâai besoin (je suis dĂ©bile de base). NĂ©cessitent que je me force Ă prendre le temps afin de suivre le rythme plutĂŽt lent quâils imposent. Seul reproche : ils sont parfois un peu en dĂ©calage avec certaines rĂ©alitĂ©s actuelles et nouvelles, surement une question de rythme et de process.
3. Les bloggers & writers que jâai dĂ©couvert via are.na : are.na câest une plateforme que je rĂ©sumerais trĂšs grossiĂšrement comme un âPinterest des idĂ©esâ. Jây suis depuis quelques annĂ©es, quand Twitter est devenu un peu moins intĂ©ressant, et jây ai trouvĂ© toute une cohorte de gens brillants. Pour namedropper comme un fdp, en voici quelques uns : Aaron Lewiz, Venkatesh Rao et tout Ribbonfarm, les ex-KHOLE, Nadia Eghbal, Chenoe Hart, les gens de NewModel ou Toby Shorin avec qui on parlait de tout ça. Câest vraiment ce que je prĂ©fĂšre lire. Ils sont au juste milieu entre la volontĂ© de comprendre les phĂ©nomĂšnes actuels, la volontĂ© de les contextualiser et la volontĂ© de thĂ©oriser. Câest ma drogue đ, je pourrais boire quasi tout ce quâils font. Ce juste milieu se matĂ©rialise rĂ©guliĂšrement par lâĂ©ruption de certains de leurs concepts hors des frontiĂšres de cette communautĂ© ; que se soit le Normcore de KHOLE ou le premium-mediocre ou le domestic-cozy de Venkatesh. Beaucoup sont impliquĂ©s dans des projets cools (art, crypto, archi, design, ingĂ©, org, collectifs, etc) au delĂ de lâĂ©criture, ce qui donne je pense ce petit plus Ă leurs idĂ©es et Ă leurs plumes.
4. Les articles des journaux et magazines type New Yorker, NYT, VOX, The Atlantic, etc : Difficile Ă qualifier, jâai optĂ© pour âcomfort society critique readingâ. Câest gĂ©nĂ©ralement trĂšs agrĂ©able Ă lire, dâune pertinence indĂ©niable sans pour autant ĂȘtre outstanding comme on dit (Kyle Chayka, la star de ce style, y arrive, avec son article sur lâAirspace par ex. Ou Anne Hellen Petersen via son approche trĂšs personnelle que jâapprĂ©cie beaucoup). Perso jâen mange beaucoup, ça donne de la bonne matiĂšre. La principale limite du genre se trouve dans lâabsence de prise de position rĂ©elle suite Ă leurs observations. Toby Shorin rĂ©sumait de la sorte : âBut the thing about writing for a mainstream news journal or lifestyle rag is they will never let you do real theorizing and reach interesting theoretical conclusions. Which is why many also consistently fails to write interesting pieces even though you know they have it in them. Also, WHY do they never come to a decisive point and say "this is bad?"â corroborant ce que je regrettais : âit accurately points out some social critiques but doesnât commit to a bigger level and the genre became kinda predictable / framework basedâ. Mais ça se dĂ©vore tout seul quand mĂȘme.
5. Les journalistes de la Tech Culture : jâen ai lu mais ça ne mâintĂ©resse plus du tout. Je respecte, mais lire que les teens font des finstas ou que des commus de sorciĂšres se retrouvent sur tiktok, câest ok on a compris que les jeunes utilisent internet de maniĂšres inattendues. La creator economy et tout le blabla, pareil, grosse flemme.
6. Buzzfeed : je sais pas ce que ça fait là pardon
Quasi plus rien venant de gens de la pub, le genre est un peu mort et a Ă©tĂ© achevĂ© par des tĂȘtes dâaffiche devenus gourous. Genre Julian Cole ou Mark Pollard et leurs communautĂ©s de zombies assoiffĂ©s de frameworks. Le blog de BBH câest toujours bien mais ça tourne un peu en rond. Byron Sharp a tournĂ© climatosceptique. Et les autres gens brillants dĂ©sormais posĂ©s ont arrĂȘtĂ© de publier il y a un moment.
En France, pas grand chose de rĂ©gulier si ce nâest les posts de Louise, la newsletter TOUT de Martin, celle dâAlexia Chandon-Piazza cailloux, et bien Ă©videmment la vie matĂ©rielle de Tiphaine.
VoilĂ , ça intĂ©ressera surement pas tout le monde, mais ce courrier est un moyen de poser des trucs qui me trottaient dans la tĂȘte et de partager avant tout. Puis au moins si toutefois câĂ©tait la derniĂšre Ă©dition, vous aurez une bonne partie des sources ahah.
Des liens maintenant.
đ€Ș The brillance of All Gas No Brakes
https://onezero.medium.com/the-brilliance-of-all-gas-no-brakes-f53fba496800
Jâai dĂ©couvert la chaĂźne Youtube All Gas No Brakes en 2020 et jâai tout regardĂ© dans la foulĂ©e. Le principe est simple : du journalisme DIY oĂč Andrew Callaghan se balade aux US Ă la rencontre dâune partie de la population que lâon entend pas trop parler dâelle mĂȘme. Il sâarrĂȘte aussi bien Ă des conventions de Flat Earthers quâaux manifestations de Minneapolis en passant par les salons du porn Ă Las Vegas. Pas dâinterview ultra guidĂ©e ni biaisĂ©e, mais une approche la plus humble qui soit :
So at a rally or a festival you just cold interview strangers basically?
We just ask, âHey, whatâs going on?â or âWhatâs on your mind?â and if thereâs something there theyâll just launch into it. It can help to have some foundational knowledge though. Like if weâre interviewing someone and they say that Bill Gates is part of the Synagogue of Satan, we know to ask them about CIA organ harvesting or adrenochrome so they keep going and maximize their ideas.
En ressort des tĂ©moignages parfois touchants, parfois loufoques, souvent dâune sincĂ©ritĂ© certaine. Les histoires et les motivations des interviewĂ©s laissent transparaitre leurs manques et dĂ©sirs rĂ©els et câest ce quâil y a de plus intĂ©ressant je trouve :
A desire to adhere to any kind of cultural fringe comes from a sort of emptiness, you just want a brotherhood at all costs.
Religion, relationships with friends and family, and work are the primary sources of meaning in American life, according to Pew. But all three are in decline. People with âno religionâ make up 23% of the U.S. population today, up from 8% in 1990. Loneliness, according to some, was an epidemic before the pandemic, and it certainly is now. Our work is more distributed, gig-based, and tenuous than ever before. The old ways of feeling like you belonged to something are diminished. So people are seeking alternatives.
Je vous invite à regarder tout ça, et si vous voulez en savoir plus sur les conditions de tournage derriÚre ce show, ils ont une interview ici.
đ le KHOLE gang đ
Je me suis rendu Ă lâĂ©vidence il y a un moment que je stan les esprits de feu-KHOLE. FrĂŽlant parfois trĂšs certainement le wannabe pour sĂ»r, je suis fan de leur approche depuis le dĂ©but, prĂ© et post-Normcore.
KHOLE nâexiste plus en tant que tel, mais certains des membres sont encore actifs et nous gratifient toujours de leurs Ă©crits. Emily Segal a montĂ© Nemesis en plus de publier par ci par la, notamment sa rĂ©cente nouvelle Mercury Retrograde. Sean Monahan a lui rĂ©cemment lancĂ© 8ball en plus de publier rĂ©guliĂšrement sur Dazed et The Guardian.
The DOOM! Report, par Nemesis.
https://nemesis.global/memos/the-doom-report
Un report cervo-cosmic sur le sentiment actuel global et ce que le futur nous rĂ©serve. MAIS, gĂ©nĂ©rĂ© par une genre dâAI sous stĂ©roĂŻdes. Les inputs, eux, sont bien humains : Nemesis ont posĂ© 3 simples questions (How would you describe the time we live in?, What does the future hold?, What was life like 10 years ago?) Ă une centaine de personnes dont les rĂ©ponses ont Ă©tĂ© ensuite processĂ©es et synthĂ©tisĂ©es par le model de prĂ©diction linguistique GPT-3. Les rĂ©sultats naviguent entre le đ, le hein? et le mindfuck.
Jâai particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© les propositions 2, 3, 6, 10, 12, 17, 20, 24, 26, 27.
Gonzo Culture, par Sean de 8ball.
https://www.8ball.report/p/gonzo-culture
Dans son premier trends report sous sa nouvelle structure, Sean analyse lâintersection entre marques et internet, lâĂ©cosystĂšme créé qui en dĂ©coule, ses phĂ©nomĂšnes et ses tribus. Certains extraits sont disponibles sur Substack. A lâexemple du passage sur le âGamerbaitâ, le report apporte de nouvelles maniĂšres de voir, lier, expliquer ou nommer certains concepts. Câest un peu meta parfois, aussi bien dans le texte que dans le design dâailleurs. Mais câest vraiment bien, câest vraiment ma came, je vais me le relire en mĂȘme temps que vous tiens. Le report est en deux parties, la deuxiĂšme est payante, hit me in the DMs si besoin.
Il avait aussi écrit The rise of the personal brand: how selling out became cool in the 2010s fin 2019. Il y retrace de façon intéressante et toujours à sa maniÚre comment le concept de Personal Branding a voyagé de la salle de réu à la rue, en passant par nos différents feeds.
đ¶ We Are The Music Makers, de Drew Austin. Via sa newsletter Kneeling Bus.
https://kneelingbus.substack.com/p/144-we-are-the-music-makers
Dans ce post, Drew rebondit sur lâarticle âEmily in Paris, the Rise of Ambient TVâ de Kyle Chayka qui explore la passivitĂ© de la consommation de la tĂ©lĂ©vision et des programmes et plus particuliĂšrement Ă travers la spĂ©cificitĂ© de la transition entre TV traditionnelle et streaming. Drew poursuit la reflection et interroge la place que le streaming prend dans nos et dans nos espaces.
This year, our homes have become densely-layered media environments, with visual and audio content continuously filling our foreground, background, and whatever space remains in between. [âŠ] As media becomes yet another layer of our environment, and as platforms like Spotify expand from their original narrow purposes to fill more roles in our lives, that media becomes more functional and less confined to the âentertainmentâ category. TV and music become another kind of furniture.Â
Prenants lâexemple dâEmily in Paris ou de Chefâs Tables (que jâadore), Kyle et Drew dĂ©crivent une partie de la production actuelle des plateformes de streaming comme des objets lisses projetables dont la fonction relĂšve plus de la dĂ©coration :
âThe shows are functionally screen savers, never demanding your attention; they do draw it, but only as much as a tabletop bouquet of flowers.â If minimalism is the dominant aesthetic of the iPhone era maybe this is the reason: We need our built environment to be a blank canvas onto which this always-available digital content can be projected, figuratively if not literally. Anything more baroque runs the risk of competing or clashing with the handheld ornamentation weâve already provided.Â
Dans le mĂȘme post, Drew link Big Mood Machine, un article qui expose la maniĂšre dont Spotify (se) joue de nos Ă©motions que jâai trouvĂ© assez intĂ©ressant.
đ§Ș What becomes an icon most, HBR đ§Ș
https://hbr.org/2003/03/what-becomes-an-icon-most
Une relique de 2003 que jâai fortement apprĂ©ciĂ© lors de nouvelles recherches sur les principes dâiconic brands et brands myths. LĂ oĂč les case studies parlent souvent des mĂȘmes marques ou mĂȘmes cas, on parle ici de Mountain Dew. Bon câest pas une petite marque de province mais ça reste moins gros calibre quâApple ou Nike.
Le rĂ©cit de lâhistoire stratĂ©gique de la marque est une masterclass dâadaptation aux disruptions culturelles, de positionnement et de comprĂ©hension des tensions (we love les tensions ici) pour en jouer sur la durĂ©e.
đź 2021 Moodboard
Le challenge devait ĂȘtre de taille pour les personnes qui ont dĂ» bosser sur des tendances ou prĂ©dictions pour 2021. Dâune part, le new normal sur lequel pas mal planchaient et misaient depuis Mars 2020 nâa toujours pas eu lieu et a mĂȘme quasiment Ă©tĂ© abandonnĂ©. Dâautre part, comment faire un report excitant tant lâannĂ©e passĂ©e et la nouvelle sont dâun gris quâil est de plus en plus compliquĂ© dâestomper
On mâa envoyĂ© ça : http://spacecadet.ventures/2021roundup/ qui regroupe une quarantaine (lol) de decks de trends. Evidemment dans cet Ă©tablissement on ne clique sur rien qui concerne le social media / le content / la tech car câest souvent nul et 0 insightful. En reste une dizaine. De cette dizaine je nâai retenu que le cool report de Pinterest. LâĂ©criture est soyeuse et le ton est adroit. Le contenu est super digeste et la position initiale est bien sentie :
More than 400 million people use Pinterest to find tomorrowâs ideas. Itâs a place to look forwards. That means that we know what's going to be big in the future, even when it seems really small in the present.Â
Pinterest Predicts isnât your typical trend report.
Itâs a not-yet-trending report.
Câest pas trop prĂ©tentieux, ça se base sur des petites donnĂ©es propriĂ©taires que personne ne connait mieux quâeux. Câest fait maison et du coup ça change des trucs barbants gĂ©nĂ©riques martelĂ©s sans conviction dans les slides Ă travers le monde.
Il y a Ă©galement ce dossier Drive de 49 fichiers pour les plus cinglĂ©s dâentre vous qui en voudraient plus.
PS : Si quelquâun met la main sur le full report de WGSN, je suis preneur đ
âïž https://mapping-the-future.com/, de Grant McCracken
TombĂ© je sais plus trop comment sur le side-blog âMapping the Futureâ du brillant cultural anthropologist Grant McCracken dans lequel il prĂ©sente une partie de sa mĂ©thode pour organiser ses lectures et ses recherches. Un archivage des liens sous des catĂ©gories en rĂ©seaux interactifs qui forment une map naviguable.
Un outil simple en soi, nommĂ© The Griff et qui utilise le software The Brain, mais qui fait Ă©normĂ©ment de sens avec du recul. Câest exactement ce dont jâavais besoin plutĂŽt que dâaccumuler les âfeuilles volantesâ rangĂ©es dans 5 sites et 4 apps diffĂ©rentes pendant toutes annĂ©es. Jâai le seum et je me sens bĂȘte đ.
Câest la fin pour aujourdâhui.
BientĂŽt dâautres liens, toujours dans le but dâen finir avec ceci :
Pour aprĂšs, quelques sujets sur lesquels jâai un peu envie dâĂ©crire : Max Martin, les Bratz, et la supercherie des sub economies (we on it).
Portez-vous bien et stay safe,
xx