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lol - Newsletter n°8 💅

hellofdp.substack.com

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Petit point 1/2

hellofdp
Jan 13, 2021
2
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lol - Newsletter n°8 💅

hellofdp.substack.com

Coucou

Rien n’a Ă©tĂ© envoyĂ© depuis Mai ou Juin mais chui vivant 🙃

Pour la faire courte : j’ai changĂ©, temporairement ou Ă  jamais, de milieu.
Mini retrospective avant de poster des liens : 2020 devait ĂȘtre l’annĂ©e oĂč on / j’essayais de faire quelque chose d’hellofdp si toutefois cela devait arriver. AprĂšs quelques mois Ă  y songer sĂ©rieusement, la seconde devait ĂȘtre passĂ©e en rencontrant quelques gens du mĂ©tier Ă  Londres en Mars. Mais le covid ne m’aura mĂȘme pas laissĂ© apercevoir l’Eurostar.
L’idĂ©e, c’était une agence / studio / quoiquestce axĂ© recherche quali & cultural insights, Ă  Paris. Avec comme plus ou moins grosses inspirations CrowdDNA, Onroad, Non Fiction, Further&Further, Current Forward, ainsi que mes idoles Farrah Bostic et Jay Owens. Cette idĂ©e n’est pas morte, j’y songe encore rĂ©guliĂšrement suite Ă  des conversations par ci par lĂ , mais elle est en gros stand-by. On verra en 2022.
La pandĂ©mie aurait pu ne pas stopper cet Ă©lan, peut-ĂȘtre mĂȘme qu’elle aurait Ă©tĂ© un point de dĂ©part intĂ©ressant, mais d’autres opportunitĂ©s se sont prĂ©sentĂ©es, mais le destin, tout ça.

Pour en revenir Ă  cette newsletter : mes lectures n’ont pas tant changĂ©es, mais les raisons pour lesquelles j’ai arrĂȘtĂ© d’écrire sont les suivantes :
- Pourquoi est-ce je lis encore tous ces trucs si je juge que mon job ne m’y oblige plus ?
- Est-ce vraiment intĂ©ressant d’écrire ou de me lire dans une pĂ©riode aussi chaotique ? J’ai du mal Ă  avoir des idĂ©es depuis 6 mois et je ne m’imagine pas que l’ambiance actuelle donne envie de lire mes salades.
Du coup, je lis, je note, je mets de cÎté, mais sans trop savoir pourquoi à fréquence irréguliÚre.

Bref, cette newsletter est un peu un quitte ou double : soit elle relancera la machine, soit elle en sera le dernier jeton. Dans tous les cas j’avais besoin de finir de lire tout ce qui traĂźne dans le browser de 2020, donc j’ai pensĂ© Ă  vous en faire “profiter”, ou au moins les partager. Get ready, ça va plus ressembler Ă  du vulgaire drop de liens qu’autre chose. DĂ©sooo.

Ah ui. Et parce qu’aprĂšs 8 ans Ă  schizophrĂ©ner entre le “on” (on commencĂ© Ă  4) et le “je” (quasi solo depuis 2, 3 ans), je vais essayer de parler principalement en “je”. D’ailleurs, si suite il y a avec cette newsletter, ça sera surement via mon compte / identitĂ© online perso, Ă  savoir : ce vulgaire twitto. L’heure de l’anonymat n’a plus trop d’intĂ©rĂȘt et devient plus relou qu’autre chose Ă©tant donnĂ© la direction prise.
Allez, vidons le navigateur.

Edit : il y a une limite (de caractĂšres ou de poids, je sais pas) sur Substack et j’ai atteint le max. Il y aura donc une partie 2 Ă  venir. Avant AoĂ»t si possible.


Avant-propos
Cette annĂ©e et cette newsletter m’ont permis de comprendre un peu mieux ce que je lisais. D’oĂč ça venait, ce qui m’intĂ©ressait vraiment, etc. On parle ici de tout se qui se rapporte Ă  la culture sociĂ©tale et sociale au sens large.
Au fil d’une discussion est survenue une reprĂ©sentation assez simplifiĂ©e de ce qu’on a appelĂ© “seriousness ranking”. A savoir une organisation d’oĂč je trouve mes lectures en fonction du niveau de sĂ©riositĂ© / qualitĂ© de l’écrit, comme son nom l’indique quoi. C’est tout Ă  fait subjectif et se schĂ©matise comme ça :

Y’a grossiĂšrement 6 catĂ©gories qui peuvent s’expliquer ainsi :
1. Les lectures acadĂ©miques : c’est lĂ  qu’est la vĂ©ritĂ© et que se trouve le passĂ©, le prĂ©sent et le futur, mais leurs PDFs de 180 pages police taille 7 c’est mort, et parfois assez compliquĂ©. Un papier de temps en temps en espĂ©rant pas s’endormir dessus quoi.

2. Les Ă©crivains, essayistes et penseurs en sciences humaines : souvent bien plus digestes que leurs collĂšgues du haut. Les idĂ©es dĂ©veloppĂ©es forment des socles dont j’ai besoin (je suis dĂ©bile de base). NĂ©cessitent que je me force Ă  prendre le temps afin de suivre le rythme plutĂŽt lent qu’ils imposent. Seul reproche : ils sont parfois un peu en dĂ©calage avec certaines rĂ©alitĂ©s actuelles et nouvelles, surement une question de rythme et de process.

3. Les bloggers & writers que j’ai dĂ©couvert via are.na : are.na c’est une plateforme que je rĂ©sumerais trĂšs grossiĂšrement comme un “Pinterest des idĂ©es”. J’y suis depuis quelques annĂ©es, quand Twitter est devenu un peu moins intĂ©ressant, et j’y ai trouvĂ© toute une cohorte de gens brillants. Pour namedropper comme un fdp, en voici quelques uns : Aaron Lewiz, Venkatesh Rao et tout Ribbonfarm, les ex-KHOLE, Nadia Eghbal, Chenoe Hart, les gens de NewModel ou Toby Shorin avec qui on parlait de tout ça. C’est vraiment ce que je prĂ©fĂšre lire. Ils sont au juste milieu entre la volontĂ© de comprendre les phĂ©nomĂšnes actuels, la volontĂ© de les contextualiser et la volontĂ© de thĂ©oriser. C’est ma drogue 💉, je pourrais boire quasi tout ce qu’ils font. Ce juste milieu se matĂ©rialise rĂ©guliĂšrement par l’éruption de certains de leurs concepts hors des frontiĂšres de cette communautĂ© ; que se soit le Normcore de KHOLE ou le premium-mediocre ou le domestic-cozy de Venkatesh. Beaucoup sont impliquĂ©s dans des projets cools (art, crypto, archi, design, ingĂ©, org, collectifs, etc) au delĂ  de l’écriture, ce qui donne je pense ce petit plus Ă  leurs idĂ©es et Ă  leurs plumes.

4. Les articles des journaux et magazines type New Yorker, NYT, VOX, The Atlantic, etc : Difficile Ă  qualifier, j’ai optĂ© pour “comfort society critique reading”. C’est gĂ©nĂ©ralement trĂšs agrĂ©able Ă  lire, d’une pertinence indĂ©niable sans pour autant ĂȘtre outstanding comme on dit (Kyle Chayka, la star de ce style, y arrive, avec son article sur l’Airspace par ex. Ou Anne Hellen Petersen via son approche trĂšs personnelle que j’apprĂ©cie beaucoup). Perso j’en mange beaucoup, ça donne de la bonne matiĂšre. La principale limite du genre se trouve dans l’absence de prise de position rĂ©elle suite Ă  leurs observations. Toby Shorin rĂ©sumait de la sorte : “But the thing about writing for a mainstream news journal or lifestyle rag is they will never let you do real theorizing and reach interesting theoretical conclusions. Which is why many also consistently fails to write interesting pieces even though you know they have it in them. Also, WHY do they never come to a decisive point and say "this is bad?"” corroborant ce que je regrettais : “it accurately points out some social critiques but doesn’t commit to a bigger level and the genre became kinda predictable / framework based”. Mais ça se dĂ©vore tout seul quand mĂȘme.

5. Les journalistes de la Tech Culture : j’en ai lu mais ça ne m’intĂ©resse plus du tout. Je respecte, mais lire que les teens font des finstas ou que des commus de sorciĂšres se retrouvent sur tiktok, c’est ok on a compris que les jeunes utilisent internet de maniĂšres inattendues. La creator economy et tout le blabla, pareil, grosse flemme.

6. Buzzfeed : je sais pas ce que ça fait là pardon

Quasi plus rien venant de gens de la pub, le genre est un peu mort et a Ă©tĂ© achevĂ© par des tĂȘtes d’affiche devenus gourous. Genre Julian Cole ou Mark Pollard et leurs communautĂ©s de zombies assoiffĂ©s de frameworks. Le blog de BBH c’est toujours bien mais ça tourne un peu en rond. Byron Sharp a tournĂ© climatosceptique. Et les autres gens brillants dĂ©sormais posĂ©s ont arrĂȘtĂ© de publier il y a un moment.

En France, pas grand chose de rĂ©gulier si ce n’est les posts de Louise, la newsletter TOUT de Martin, celle d’Alexia Chandon-Piazza cailloux, et bien Ă©videmment la vie matĂ©rielle de Tiphaine.

VoilĂ , ça intĂ©ressera surement pas tout le monde, mais ce courrier est un moyen de poser des trucs qui me trottaient dans la tĂȘte et de partager avant tout. Puis au moins si toutefois c’était la derniĂšre Ă©dition, vous aurez une bonne partie des sources ahah.

Des liens maintenant.


đŸ€Ș The brillance of All Gas No Brakes
https://onezero.medium.com/the-brilliance-of-all-gas-no-brakes-f53fba496800

J’ai dĂ©couvert la chaĂźne Youtube All Gas No Brakes en 2020 et j’ai tout regardĂ© dans la foulĂ©e. Le principe est simple : du journalisme DIY oĂč Andrew Callaghan se balade aux US Ă  la rencontre d’une partie de la population que l’on entend pas trop parler d’elle mĂȘme. Il s’arrĂȘte aussi bien Ă  des conventions de Flat Earthers qu’aux manifestations de Minneapolis en passant par les salons du porn Ă  Las Vegas. Pas d’interview ultra guidĂ©e ni biaisĂ©e, mais une approche la plus humble qui soit :

So at a rally or a festival you just cold interview strangers basically?
We just ask, “Hey, what’s going on?” or “What’s on your mind?” and if there’s something there they’ll just launch into it. It can help to have some foundational knowledge though. Like if we’re interviewing someone and they say that Bill Gates is part of the Synagogue of Satan, we know to ask them about CIA organ harvesting or adrenochrome so they keep going and maximize their ideas.

En ressort des tĂ©moignages parfois touchants, parfois loufoques, souvent d’une sincĂ©ritĂ© certaine. Les histoires et les motivations des interviewĂ©s laissent transparaitre leurs manques et dĂ©sirs rĂ©els et c’est ce qu’il y a de plus intĂ©ressant je trouve :

A desire to adhere to any kind of cultural fringe comes from a sort of emptiness, you just want a brotherhood at all costs.
Religion, relationships with friends and family, and work are the primary sources of meaning in American life, according to Pew. But all three are in decline. People with “no religion” make up 23% of the U.S. population today, up from 8% in 1990. Loneliness, according to some, was an epidemic before the pandemic, and it certainly is now. Our work is more distributed, gig-based, and tenuous than ever before. The old ways of feeling like you belonged to something are diminished. So people are seeking alternatives.

Je vous invite à regarder tout ça, et si vous voulez en savoir plus sur les conditions de tournage derriÚre ce show, ils ont une interview ici.


💞 le KHOLE gang 💞

Je me suis rendu Ă  l’évidence il y a un moment que je stan les esprits de feu-KHOLE. FrĂŽlant parfois trĂšs certainement le wannabe pour sĂ»r, je suis fan de leur approche depuis le dĂ©but, prĂ© et post-Normcore.

KHOLE n’existe plus en tant que tel, mais certains des membres sont encore actifs et nous gratifient toujours de leurs Ă©crits. Emily Segal a montĂ© Nemesis en plus de publier par ci par la, notamment sa rĂ©cente nouvelle Mercury Retrograde. Sean Monahan a lui rĂ©cemment lancĂ© 8ball en plus de publier rĂ©guliĂšrement sur Dazed et The Guardian.

The DOOM! Report, par Nemesis.
https://nemesis.global/memos/the-doom-report

Un report cervo-cosmic sur le sentiment actuel global et ce que le futur nous rĂ©serve. MAIS, gĂ©nĂ©rĂ© par une genre d’AI sous stĂ©roĂŻdes. Les inputs, eux, sont bien humains : Nemesis ont posĂ© 3 simples questions (How would you describe the time we live in?, What does the future hold?, What was life like 10 years ago?) Ă  une centaine de personnes dont les rĂ©ponses ont Ă©tĂ© ensuite processĂ©es et synthĂ©tisĂ©es par le model de prĂ©diction linguistique GPT-3. Les rĂ©sultats naviguent entre le 😐, le hein? et le mindfuck.
J’ai particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© les propositions 2, 3, 6, 10, 12, 17, 20, 24, 26, 27.

Gonzo Culture, par Sean de 8ball.
https://www.8ball.report/p/gonzo-culture

Dans son premier trends report sous sa nouvelle structure, Sean analyse l’intersection entre marques et internet, l’écosystĂšme créé qui en dĂ©coule, ses phĂ©nomĂšnes et ses tribus. Certains extraits sont disponibles sur Substack. A l’exemple du passage sur le ‘Gamerbait’, le report apporte de nouvelles maniĂšres de voir, lier, expliquer ou nommer certains concepts. C’est un peu meta parfois, aussi bien dans le texte que dans le design d’ailleurs. Mais c’est vraiment bien, c’est vraiment ma came, je vais me le relire en mĂȘme temps que vous tiens. Le report est en deux parties, la deuxiĂšme est payante, hit me in the DMs si besoin.

Il avait aussi écrit The rise of the personal brand: how selling out became cool in the 2010s fin 2019. Il y retrace de façon intéressante et toujours à sa maniÚre comment le concept de Personal Branding a voyagé de la salle de réu à la rue, en passant par nos différents feeds.



đŸ“¶ We Are The Music Makers, de Drew Austin.
Via sa newsletter Kneeling Bus.
https://kneelingbus.substack.com/p/144-we-are-the-music-makers

Dans ce post, Drew rebondit sur l’article “Emily in Paris, the Rise of Ambient TV” de Kyle Chayka qui explore la passivitĂ© de la consommation de la tĂ©lĂ©vision et des programmes et plus particuliĂšrement Ă  travers la spĂ©cificitĂ© de la transition entre TV traditionnelle et streaming. Drew poursuit la reflection et interroge la place que le streaming prend dans nos et dans nos espaces.

This year, our homes have become densely-layered media environments, with visual and audio content continuously filling our foreground, background, and whatever space remains in between. [
] As media becomes yet another layer of our environment, and as platforms like Spotify expand from their original narrow purposes to fill more roles in our lives, that media becomes more functional and less confined to the “entertainment” category. TV and music become another kind of furniture. 

Prenants l’exemple d’Emily in Paris ou de Chef’s Tables (que j’adore), Kyle et Drew dĂ©crivent une partie de la production actuelle des plateformes de streaming comme des objets lisses projetables dont la fonction relĂšve plus de la dĂ©coration :

“The shows are functionally screen savers, never demanding your attention; they do draw it, but only as much as a tabletop bouquet of flowers.” If minimalism is the dominant aesthetic of the iPhone era maybe this is the reason: We need our built environment to be a blank canvas onto which this always-available digital content can be projected, figuratively if not literally. Anything more baroque runs the risk of competing or clashing with the handheld ornamentation we’ve already provided. 

Dans le mĂȘme post, Drew link Big Mood Machine, un article qui expose la maniĂšre dont Spotify (se) joue de nos Ă©motions que j’ai trouvĂ© assez intĂ©ressant.


đŸ§Ș What becomes an icon most, HBR đŸ§Ș
https://hbr.org/2003/03/what-becomes-an-icon-most

Une relique de 2003 que j’ai fortement apprĂ©ciĂ© lors de nouvelles recherches sur les principes d’iconic brands et brands myths. LĂ  oĂč les case studies parlent souvent des mĂȘmes marques ou mĂȘmes cas, on parle ici de Mountain Dew. Bon c’est pas une petite marque de province mais ça reste moins gros calibre qu’Apple ou Nike.

Le rĂ©cit de l’histoire stratĂ©gique de la marque est une masterclass d’adaptation aux disruptions culturelles, de positionnement et de comprĂ©hension des tensions (we love les tensions ici) pour en jouer sur la durĂ©e.


🔼 2021 Moodboard

Le challenge devait ĂȘtre de taille pour les personnes qui ont dĂ» bosser sur des tendances ou prĂ©dictions pour 2021. D’une part, le new normal sur lequel pas mal planchaient et misaient depuis Mars 2020 n’a toujours pas eu lieu et a mĂȘme quasiment Ă©tĂ© abandonnĂ©. D’autre part, comment faire un report excitant tant l’annĂ©e passĂ©e et la nouvelle sont d’un gris qu’il est de plus en plus compliquĂ© d’estomper

On m’a envoyĂ© ça : http://spacecadet.ventures/2021roundup/ qui regroupe une quarantaine (lol) de decks de trends. Evidemment dans cet Ă©tablissement on ne clique sur rien qui concerne le social media / le content / la tech car c’est souvent nul et 0 insightful. En reste une dizaine. De cette dizaine je n’ai retenu que le cool report de Pinterest. L’écriture est soyeuse et le ton est adroit. Le contenu est super digeste et la position initiale est bien sentie :

More than 400 million people use Pinterest to find tomorrow’s ideas. It’s a place to look forwards. That means that we know what's going to be big in the future, even when it seems really small in the present. 

Pinterest Predicts isn’t your typical trend report.
It’s a not-yet-trending report.

C’est pas trop prĂ©tentieux, ça se base sur des petites donnĂ©es propriĂ©taires que personne ne connait mieux qu’eux. C’est fait maison et du coup ça change des trucs barbants gĂ©nĂ©riques martelĂ©s sans conviction dans les slides Ă  travers le monde.

Il y a Ă©galement ce dossier Drive de 49 fichiers pour les plus cinglĂ©s d’entre vous qui en voudraient plus.

PS : Si quelqu’un met la main sur le full report de WGSN, je suis preneur 👀


⚛ https://mapping-the-future.com/, de Grant McCracken

TombĂ© je sais plus trop comment sur le side-blog ‘Mapping the Future’ du brillant cultural anthropologist Grant McCracken dans lequel il prĂ©sente une partie de sa mĂ©thode pour organiser ses lectures et ses recherches. Un archivage des liens sous des catĂ©gories en rĂ©seaux interactifs qui forment une map naviguable.

Un outil simple en soi, nommĂ© The Griff et qui utilise le software The Brain, mais qui fait Ă©normĂ©ment de sens avec du recul. C’est exactement ce dont j’avais besoin plutĂŽt que d’accumuler les ‘feuilles volantes’ rangĂ©es dans 5 sites et 4 apps diffĂ©rentes pendant toutes annĂ©es. J’ai le seum et je me sens bĂȘte 🙃.


C’est la fin pour aujourd’hui.
Bientît d’autres liens, toujours dans le but d’en finir avec ceci :

Pour aprĂšs, quelques sujets sur lesquels j’ai un peu envie d’écrire : Max Martin, les Bratz, et la supercherie des sub economies (we on it).

Portez-vous bien et stay safe,
xx

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